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Mon bébé au Canada

Diane, notre fille (oui, avoir plusieurs enfants par GPA est possible)



Nous avons l’immense bonheur de vous faire part de la naissance de notre fille, fin avril 2021 dans l’Alberta. Elle s’appelle Diane. Nous sommes aux anges, tout comme l’est son grand frère. Voici quelques conseils pour ceux qui envisagent avoir plusieurs enfants par GPA.


Nous avons beaucoup, beaucoup de chance. La naissance de notre fille vient réaliser un rêve auquel nous n’osions pas penser il y a quelques années quand le parcours de GPA a débuté pour nous : fonder une famille avec deux enfants.


L’arrivée de notre fils Georges, il y a trois ans, a été un bonheur absolu. La naissance de Diane est une chance inouïe et nous combe de joie, et marque aussi la fin d’un très long parcours, et le début de la vie de famille à 4 


C’est aussi et surtout la preuve que rien n’est impossible, et que l’on peut avoir pas seulement un, mais plusieurs enfants grâce au parcours de GPA au Canada.



INFOS / CONSEILS POUR UN DEUXIEME PARCOURS

A ceux qui en rêvent, qu’ils soient déjà parents ou non, voici quelques informations :


>Il est important de prévoir (autant que possible) le deuxième parcours dès le premier (par exemple, en faisant en sorte d’avoir assez d’embryons pour un deuxième parcours, pour gagner du temps et de l’argent plus tard).



>Dur de penser à un deuxième quand le premier n’est pas encore arrivé (ou quand il n’est pas là depuis très longtemps) mais le parcours de la GPA étant très long, toujours mieux de prendre les devants (au cas où). Même si vous pensez que c’est trop tôt, ça ne l’est pas forcément !



>Les choses sont forcément plus simples pour le deuxième parcours, mais elles sont différentes, donc il faut donc être pragmatique. Par exemple, pour notre deuxième parcours, nous avons fait transférer nos embryons dans une autre clinique pour nous rapprocher de notre mère porteuse, ce qui nous a aussi facilité la tâche à cause du Covid – 19 qui empêchait les voyages entre les provinces canadiennes. Notre parcours n’a ainsi pas pris de retard.



>Nous avons eu l’immense chance d’avoir la même mère porteuse pour notre deuxième parcours (c’est elle que nous a clairement dit qu’elle vivrait très mal que nous ayons une autre mère porteuse !).

Cette femme est incroyable et nous mesurons notre chance car nous savons, et il faut être conscient, que c’est assez rare d’avoir la même porteuse pour le deuxième parcours (il faut un alignement des planètes presque parfait). Mais on peut aussi vivre un deuxième parcours tout aussi bien que le premier avec une autre mère porteuse !



>Nous sommes repassés par la même agence, qui a consenti à un rabais et qui s’est occupée de la gestion des remboursements, qui est toujours un point qui peut être délicat dans la relation et qui demande une rigueur et un suivi importants.



>Le deuxième parcours nous a coûté moins cher que le premier : les embryons étaient déjà faits, les frais d’agence ont été réduits, nous avons aussi négocié un discount de la part de l’avocat et on savait précisément où on mettait les pieds (ce qui permet toujours de faire des petites économies ici et là).

Par exemple, notre nouvelle clinique était moins chère et notre mère porteuse est tombée enceinte dès le premier transfert (au-delà de la joie, c’est aussi une économie de ne pas avoir à payer pour un deuxième transfert).

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